J-4, au jeu des rayures en ce 21 décembre

aux Quat'Sardines les lutins des mers ne portent pas les vingt et une bandes blanches règlementaires du tricot rayé ! par esprit non conformiste probablement...

un décret du Bulletin officiel des armées daté du 27 mars 1858 précise pourtant que « 21 raies blanches larges de 20mm et 20 ou 21 raies bleues larges de 10mm » doivent constituer le sous-vêtement du matelot, l'ancêtre de la marinière; les manches quant à elles seront tissées de « 15 raies blanches et 14 ou 15 raies bleues ». Voir ICI  l'histoire de la marinière.

Ah ces  marins et la mode déjà évoqués sur le blog.

Autre clin d'oeil maritime avec le tricot rayé de Nouvelle Calédonie. Là il ne s'agit plus de mailles à porter à même la peau mais d'un serpent emblématique de l'île du Pacifique, une espèce amphibie réputée dangeureuse à la robe gwenadu très joliment rayée. Votre rédactrice est loin (très loin) d'être une adepte d'herpétologie, mais une enfance passée sur les pontons du club nautique de Nouméa lui a laissé le loisir d'observer ces tricots rayés (trouvé sur le blog de navigateurs à bord de Banik un article détaillé sur le fameux reptile.)

Le voilier Banik et son équipage familial voyagent autour du monde depuis de nombreuses années. Découvrez sur leur site Internet les mouillages qu'ils ont appréciés, les astuces qui rendent la vie à bord plus agréable ou la navigation plus sure, leurs découvertes et leurs rencontres aux escales...